Atlas de la menace climatique (1e édition)

Atals de la menace climatique Autrement

Depuis une dizaine d’années, le moindre événement météorologique
d’envergure est mis sur le compte du réchauffement climatique. Tempête, cyclone, blizzard ou canicule, et aussitôt l’on invoque le réchauffement de la planète. Qu’en est-il exactement ? Depuis le début du XIXe siècle, une partie de l’humanité s’est développée de manière
fulgurante grâce à l’exploitation de sources d’énergie bon marché que constituaient le charbon, le pétrole et le gaz naturel. Leur combustion massive est responsable de la variation de la composition de l’atmosphère, cause du changement climatique déjà observé et qui ne fera que croître en raison du phénomène de l’effet de serre. Et le réchauffement de se poursuivre. Cette constatation des scientifiques fait froid dans le dos et il importe de réagir avant qu’il ne soit trop tard. Mais de quelle(s) manière(s) ? Alerter les politiques, réformer les comportements individuels, produire autrement, changer de modèle de développement. À chacun ses choix, mais en connaissance de cause. Tel est le pari de cet Atlas de la menace climatique. En 80 pages et près de 100 cartes, graphiques et illustrations, il explique très clairement les mécanismes du climat, les signes indubitables de réchauffement, le travail des climatologues, expose les indices du réchauffement : températures et précipitations en hausse, neiges et glaciers en diminution, météorologies bouleversées, migrations des animaux, etc. Après avoir « ausculté » ces récentes transformations, l’atlas s’attache à dresser quelques scénarios pour le futur avec les prévisions possibles sur le climat qui régnera en 2100. Un ouvrage indispensable à tous les citoyens d’aujourd’hui.

Préface de Michel Petit, préfacier et conseiller scientifique, est membre de l’Académie des sciences et participe au Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec).
Carte at info par Krystyna Mazoyer, géographe-cartographe indépendante.

80 pages, atlas, Autrement, 29 octobre 2005

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