Voilà ce qu’a déclaré aujourd’hui le cadavérique Thierry Carcenac, président du Conseil général du Tarn, après la mort de Rémi Fraisse. Blanc comme un pet, comme disait ma grand-mère, un pet bête et triste écrirait Frédéric Dard, la chevelure en étoupe, la peau du front labourée comme un champ et travaillée par de bien grosses taches, ce monsieur a des allures de tête momifiée du quai Branly. Il sent la mort. La mort qu’il insulte… https://blogs.mediapart.fr/frederic-denhez/blog/281014/mourir-pour-des-idees-cest-une-chose-mais-cest-quand-meme-relativement-bete